Concert
Tiger Tigre
Concert
Accès libre sans réservation
Compositeur, arrangeur, multi-instrumentiste, Vincent Taeger est un virtuose aux airs de clown mauvais garçon, bien connu comme le batteur de Poni Hoax, multipliant les collaborations avec Air, Tony Allen, Jeff Mills, Foals, Charlotte Gainsbourg, Oumou Sangaré, Oxmo Puccino, Le Sacre du Tympan et les autres. Il brouille les pistes, bouscule les codes et éveille son inspiration fauve avec son projet solo Tiger Tigre. Grrrrrr… sa musique safarienne et Kraftwerkienne aux sonorités exotiques est assurément la bande-son d’une odyssée sensorielle à ne pas manquer.
« Ce qui m’excitait c’était d’être libre, sans la contrainte d’un groupe ou d’un directeur artistique et son tableau XXL Je pouvais enfin me disputer avec moi même et avoir le dernier mot.»
Tiger Tigre a le mal de mer mais nous mène en bateau. L’artiste, sous ses airs de clown mauvais garçon, cache bien son premier prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris mention très bien à l’unanimité et ses années passées au sein de l’orchestre de jeunes prodiges mondiaux «l’univers symphonique européen ».
Compositeur, arrangeur, réalisateur et multi-instrumentiste, Vincent Taeger, batteur de feu Poni Hoax, a passé ces dernières années dans les mythiques studios Ferber avec Renaud Letang et a multiplié les collaborations avec des artistes comme Air, Foals, Tony Allen, Oumou Sangare, Oxmo Puccino, Melissa Lavaux, Sebastien Tellier, Charlotte Gainsbourg, Franz Ferdinand, Chilly Gonzales, Gregory Porter, Saul Williams, Philippe Katerine, Thomas de Pourquery, Le Sâcre du Tympan, Archie Shepp, Vincent Segal… Tiger Tigre brouille les pistes, bouscule les codes et met au premier plan ce qui est censé être en arrière.
Ce qui interroge ou dérange, cultive-le. Les défauts sont aussi les qualités et le bon goût, le mauvais.
Armé d’un humour subversif et provocateur, sa verve n’a pas échappé aux Inrocks « son compte insta est un cadeau de Dieu ! ».
Cet univers décalé et atemporel s’illustre à merveille dans son premier clip Tokyo Parade produit et réalisé par lui-même et son acolyte la Plongée (fille d’un célèbre réalisateur des années 70).
